Le réveil s’est fait très matinal, remués et assommés par une nuit giflée par le vent incessant de Tarifa, une ville magique éclairée, dans ses tortueuses allées, par la chaux blanche, ses plages infinies et encore désertées entre mer et océan, tournée vers le Rif, les ailes colorées des kite-surfs se font rares… seul le souffle du vent nous accompagne. Nous avons profité de Tarifa sous un autre jour que celui que nous connaissions, en hiver. Le printemps a ouvert d’autres terrasses gourmandes et ensoleillées, calle Guzmán el Bueno notamment avec El Lola, un flamenco bar, ses nappes à pois assorties aux tabliers des serveurs. Une carte savoureuse, un accueil irréprochable et sympathique sous un soleil rendu supportable par la violence des bourrasques fouettant les toiles des parasols.
Early morning rise, shaken and stunned by the non-stop wind beating everything up in Tarifa, some magical city lighten up, tortuous paths, whitewash walls, boundless deserted shore between sea and ocean facing the Rif, the usual colourful kites seem to have vanish… only the wind keeps us company. We discovered for the second time Tarifa once again, the first one being in winter. Spring coming, new places bloomed, teasing us with the most amazing food, like El Lola, a flamenco bar with its polka dots tablecloth: a tasteful menu, impeccable & welcoming service under the sun of a small plaza.
Dans le vent je vous imagIne bienet ou etes vous ce soir du 18 mai? On vous embrasse mum
merci pour ces délicieuses descriptions entraînantes…Je connais bien ce vent et je l’adore!
happy birthday!
Lili